Les 5 lois business de Mark Zuckerberg ( Fondateur de Facebook)

Avec le rachat de WhatsApp à 19 milliards de dollars, Mark Zuckerberg prend un risque non négligeable. En même temps, l’entrepreneur a toujours agi de la sorte. Mark Zuckerberg n’a jamais perdu de temps. À vingt ans à peine, il lance avec des amis d’Harvard la première version de Facebook. Le succès est si foudroyant qu’il arrête ses études pour se consacrer au développement de celle-ci. Bien lui en a pris. Milliardaire à 23 ans, personnalité de l’année à 25 ans selon le Time, Mark Zuckerberg est aujourd’hui à la tête du deuxième site le plus visité au monde. D’après les derniers chiffres officiels, Facebook rassemble près de 1,2 milliard d’utilisateurs. Comment a-t-il fait ? Une des premières règles du business est de faire, au début, des choses simples. Ça vous laisse après une grande marge de progression Au départ, Mark Zuckerberg a une idée très simple : connecter les étudiants d’Harvard de façon ludique. À l’époque, le site est encore brut dans son aspect. Pas ou très peu d’applications existent pour égayer la communauté de Facebook. C’est seulement après les premiers succès « d’estime » que la petite équipe de développeurs imagine les « poke », les vampires et autre jeux qui rendront les utilisateurs complètement accrocs à Facebook. C’est simple : nous ne fabriquons pas des services pour gagner de l’argent ; nous gagnons de l’argent pour fabriquer de meilleurs services « Comment faire en sorte que l’utilisateur se sente bien sur le site ? ». Avant de penser à l’argent, Mark Zuckerberg s’est toujours focalisé sur cette problématique. Bon, il est vrai que la startup n’a pas eu besoin de se soucier de l’argent, vu les montants des levées de fonds successives. Une vision qui n’appartient d’ailleurs pas au seul Mark Zuckerberg. Tous les créateurs innovants ont ce même réflexe. Bougez vite et brisez les normes. À moins de briser certaines choses, vous ne bougez jamais assez vite Entreprendre vous condamne à être perpétuellement innovant. Regardez le cas de Facebook. D’une simple plateforme de connexion entre étudiants, Facebook est devenu un média personnalisable pour chacun de ses utilisateurs. Et quand Mark Zuckerberg n’est pas capable de développer rapidement certaines compétences, il les achète. Les exemples d’Instagram et de WhatssApp sont à cet égard parlants. « Suis-je en train de faire la chose la plus importante que je pourrais à faire instant ? » Mark Zuckerberg est un monstre de productivité. Dès qu’il a 30 secondes de libres, il avance sur un sujet. Un journaliste américain a raconté une fois que le jeune entrepreneur se mettait à coder dès qu’on arrêtait de lui parler pendant 10 secondes. Jamais, il ne perd de temps. Et il le faut à ce degré de responsabilité. Se tromper n’est pas grave. Par contre, ne pas faire… « Fait est mieux que parfait » À l’instar de tous les grands de ce monde, Mark Zuckerberg accomplit une énorme masse de travail. Une raison pour laquelle il atteint le sommet de la réussite, 10 ans à peine après la création de sa boîte. Ça fait rêver.

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