Ton heure n'est pas encore venue!
Dans une université de renom, il
y avait un professeur qui disait toujours aux étudiants en cas d'échec, "Ton heure
n'est pas encore venue". Même si tu réussissais dans son cours,
il faisait par tous les moyens pour vous faire échouer. En bas de page, il
écrivait toujours, "Ton heure n'est pas encore venue". Un jour, la
guerre est survenue, le professeur et sa femme, étaient parmi les réfugiés. Il
devrait y avoir dans le camp des réfugiés, un plan d'évacuation de toutes les
personnes déplacées. Arrivé au tour du professeur et de sa femme, leurs noms étaient
rayés de la liste ; mais, eux, le professeur et sa femme, ne comprirent
pas pourquoi, leurs deux noms étaient toujours éliminés de la liste. Un jour,
curieux qu’il était, il s’approcha auprès d’un des responsables pour s’enquérir
de la situation du nouveau plan d’évacuation. La personne chargée de la liste,
conseilla au professeur d’aller voir le chargé d’évacuation des refugiés. En s’approchant
de la tente, l’ex-étudiant du professeur reconnut la face du professeur, et lui
dit ces mots, qu’il aimait souvent employer « cher professeur, ton heure n’est pas encore venue ». L’imminent
professeur reconnut qu’il s’agissait bien là, d’un ancien étudiant qu’il a
enseigné à l’université et retourna raconter l’affaire à sa femme. Sa femme lui dit, qu’est
ce que je te disais à l’époque, il ne faut pas croire que les étudiants ne
deviendront jamais des cadres compétents! Tu vois maintenant. Entretemps, la
rébellion avançait et il ne restait presque ce couple au niveau du camp et la
situation alimentaire se détériorait de plus en plus. Comme on le dit souvent,
l’histoire se répète de fois ; nos chers grands et éminents professeurs d’université
oublient cette notion. Pris par l’état de santé de la femme, le jeune étudiant
qui est devenu responsable, appela la femme et lui rappela le mal que son mari
a fait subir aux étudiants pendant presqu’une génération. Il pardonna le
Monsieur à cause de femme et ils seront placés dans un vol spécial pour la dernière
évacuation. Attention, l’histoire
nous rattrape pour le mal que nous avons toujours fait, et comme on le dit
aussi, les bienfaits ne sont jamais oubliés.
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